Depuis les temps immémoriaux, aujourd’hui encore, les association se font et défont.
les
raisons cependant changent avec Les réalités du terrain,
les objectifs visés, les visions d’intérêt public ou
personnel, les aspirations.
Un bref regard vers l’arrière
nous rappelle que les associations existantes se
confondaient dans le paysage des organisations de masse,
même si l’histoire du mouvement associatif nous
enseigne qu’un autre type d’association activaient
pour que des groupes restreints à un village, un
quartier, à des émigrés puissent alléger leurs
fardeaux et resserre leurs liens d’amitiés et d’entraide
.
Quelque part cet esprit a un peu primé au niveau des
maisons de jeunes et les responsables de ces
établissements de jeunesse ont eu l’heureuse initiative
de créer ce qui, aujourd’hui encore, s’appelle A.A.J.
une A.A.J qui fonctionne avec un contrat – programme la
liant à la D.J.S . l’idée est séduisante, voire
attirante puisque d’emblée elle évacue le problème de
locaux. Une association fonctionne dans un espace pour
prendre son envol.
A condition toute fois que le travail
de bénévolat ne soit pas un traitre mot.
A Akbou, est
crée l’AAJ dénommée FIRKAT EN NOUDJOUM, le 02 Mars
1976, agrée sous le N°7640 / DAGRAL, grâce à la bonne
volonté et sur l’initiative de jeunes artistes locaux
et cadres de la jeunesse. Jusqu’en 1993 ces jeunes de l’AAJ
se sont donnés jusqu’à épuisement de leurs
possibilités de maintenir le cap et d’évoluer,
timidement mais graduellement. L’envergure, ne
dépassait pas les limites territoriales communales, même
si les animateurs culturelles ( musique, théâtre, sports
) de proximité faisaient un peu écho dans la ville.
Cette AAJ des année 80 – 90 à le grand mérite d’avoir
jeté les bases pour une Association d’un autre TON qui
ne se satisfait plus de son ancienne appellation. Elle
devient l’Association ETOILE CULTURELLE . ses
éléments, à quelques rares exception, sont gardés et
au fil du temps, ont été renforcés par d’autres.
Les moyens utilisés sont le théâtre d’expression, la
poésie, les chants.
Les activités courantes telles que
le sport, le dessin, la broderie, |
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la couture, les
échanges nationaux et internationaux, la confection de
revue, de prospectus, de pannaux, d’expositions, de
tables rondes, de vidéothèque, de sondage, se sont
complétées pour permettre à l’Etoile Culturelle de
marquer se son empreinte indélébile, la commune la
wilaya, la capitale et bien d’autres wilaya et contrées
étrangères .
A cela, il faudra ajouter sa maîtrise pour organiser,
tenir et participer aux célébration des journées,
fêtes nationales, le festival musical nait
L’Etoile
Culturelle se fixe des objectifs culturels. Elle touche à
tous les créneaux dont les plus sensible comme l’environnement,
la solidarité, la santé axée sur la lutte contre les
fléaux sociaux : SIDA – DROGUE –M.T.H, TABAC, la
FORMATION, l’enseignement ( préparation aux examens des
jeunes collégiens et lycéens, l’informatique ).
en 1995
devient à la suite de ses éditions, l’activités phare qui
englobe toutes les activités de l’année.
Les projets espace vert, SIDA maghreb-orient les stages de
formation d’animateurs en écologie, les études sur l’archéologie
de la région l’ont propulsée et l’ont admise dans
les differents comités, de lutte contre le sida, de la
promotion de l’environnement , le conseil d’administration
sanitaire, l’APSE. La bataille culturelle pour tamazight
est un créneau qu’elle insère dans la moindre de ses
activités, avec un spéciale Mohamed Haroun à l’occasion
du Printemps Berbère.Cette envergure, sa place dans le
cadre associatif nécessitent chaque fois plus de
volonté, plus de dynamisme, plus de moyens financiers,
heureusement que le sponsoring et la médiatisation sont
là ; ‘un pour lui permettre de couvrir ses dépenses d’engagements
l’autre pour lui assurer, par écrits interposés, sa
crédibilité et sa force de conviction. Ces nombreux
partenaires sont toujours omniprésents et coopèrent dans
la mesure de leurs moyens à mener à terme et à bon port
toutes les activités de l’Etoile Culturelle . |
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